dimanche 22 août 2010

Pâturage

Vous vous rappelez de ce chantier battage un peu galère, et ensuite .

Eh bien c'est très positif, la luzerne ayant bien repoussé, ça nous a permis d'ouvrir la surface moissonnée en continuité d' une  parcelle de pré pour faire pâturer les bêtes.

Le troupeau va à volonté de la parcelle de pré à celle de luzerne, et la quantité de foin apportée à la semaine a été divisée par 2.

10 commentaires:

  1. Je devine le lieu de la parcelle en regardant l'arrière plan :-)
    Belle organisation !

    RépondreSupprimer
  2. elles sont bien belles vos bêtes.

    RépondreSupprimer
  3. Beaucoup de travail, et souvent qu'lon ignore!
    Bises
    Annette

    RépondreSupprimer
  4. elles ont l'air bien heureuses ces vaches
    Annie

    RépondreSupprimer
  5. génial, et moins de soucis si l'on peut dire cela ;-)))

    RépondreSupprimer
  6. J'apprends des choses sur ce blog !
    Merci pour votre commentaire sur le mien...
    Bonne journée.
    Christophe

    RépondreSupprimer
  7. Attention à la météorisation ! Elles ont de la chance, en plus ce sont des protéines bon marché, elles ont du reprendre du lait. La luzerne est quasi impossible chez moi ! Les sols sont beaucoup trop acides, aux alentours de 6 voir moins parfois ! Ou alors, il faut des tonnes de chaux. J'ai essayé mais cela revenait trop cher !
    Vous l'aviez semé sous couvert d'orge ?

    RépondreSupprimer
  8. pour JP : arrière plan trop loin, on ne voit pas les lapins(lol)
    merci à tous pour vos messages, et pour PH des précisions plus techniques :
    le ph, chez nous tourne autour de 6 à 7;luzerne semée sous couvert de pois prot. de printemps en mars 2006, récolte enrubannée automne 2006, ensuite ensilage, enrubannage et sechée,paturage à l'automne (2008 2009),automne 2009 après 2 passages superficiel cover crop semis de blé : tout ça pour essayer la culture de céréales sous couverture perenne.

    RépondreSupprimer
  9. Alors, qu'est ce qu'a fait le blé ? Avec un tel couvert, pas d'azote je présume ? Pour comparer différents itinéraires techniques, il faudrait que l'on se fasse une base de données en terme de prix de revient. Je m'explique : Sur un schéma bio ou presque, avec votre parcours technique sur ce blé, entre passages simplifiés, absence d'azote à apporter, couverture du sol par luzerne limitant les mauvaises herbes, repousses après récolte sans resemis, on a un coût réel de culture très bas donc un rendement moindre peut laisser autant de marge qu'une culture très poussée. Ou tout au moins, les écarts ne sont peut être pas ceux que l'on croit. Je ne sais pas si je me fais comprendre, mais c'est ce genre de références qu'il faudrait que l'INRA nous donne : Une sorte de tableau à multiples entrées qui relativise le seul rendement final et nous fasse approcher une marge globale ! Je sais, beaucoup de marchands n'ont pas trop envie...

    RépondreSupprimer
  10. ça a fait environ 60qx, 40 unités d'azote(stage épi 1cm)...c'est vrai qu'il est plus parlant de raisonner en marge à l'hectare qu'en rendement, c'est loin d'être ça dans nos campagnes, beaucoup font encore pleinement confiance au "technicien" vendeur et annoncent de beaux rendements(sans compter le nombre de passage et intrants...) objectif aussi à la ferme : remonter le taux de matière organique du sol et avoir un sol vivant...

    RépondreSupprimer